traduction technique

Avoir un document technique à traduire dans une langue étrangère, ceci n’a jamais été un jeu d’enfants ! Même pour un traducteur professionnel, il s’agit d’un exercice difficile qui exige des compétences de pointe. Il n’y a pas de place à laisser à l’erreur, à l’approximation ni à l’interprétation… Employer un contre sens dans un manuel d’utilisation ou une fiche de sécurité entraîne des risques de dangers sévères. Pour cela, il faut s’assurer de la précision de la terminologie utilisée et confier son choix à des professionnels qualifiés. Plongeons-nous donc dans ce domaine exigeant et découvrons ses enjeux pour savoir comment obtenir une traduction technique réussie !

Maîtriser les subtilités de la langue cible

La qualité d’une traduction repose essentiellement sur le respect des subtilités de la langue qu’elle utilise. En effet, des erreurs d’orthographe, de grammaire et de conjugaison font soupçonner du professionnalisme de celui qui a réalisé la traduction. Un bon traducteur connaît la spécificité de sa langue maternelle vers laquelle il réalise normalement ses travaux. Car, les particularités changent d’une langue à une autre et le non-respect de ces critères constitue une faute grave. En anglais par exemple, il faut marquer une décimale par un point, contrairement à la langue française qui la marque par une virgule. De même, en passant d’une langue à une autre, il faut penser à changer la forme des guillemets. Il faut aussi laisser un espace après les deux points en traduisant en français. Or, ceci n’est pas le cas pour les textes traduits vers l’allemand ou l’italien.

Nous parlons ici des conventions de la langue qui constituent son originalité. Voici donc un 1er enjeu. Pour cibler un public particulier, il faut lui adresser un contenu traduit en fonction des subtilités de sa langue.

Bien choisir la terminologie technique   

Contrairement à la traduction littéraire, traiter un texte technique ne demande pas d’interprétation, d’imagination ou des généralités. Le bon choix de chaque terme technique est de mise. Pour cela, il faut réussir l’enjeu des équivalences entre les mots et expressions de chaque langue. En effet, tout texte se distingue par un niveau de technicité plus ou moins élevé par rapport à d’autres contenus. Cela varie d’un simple article de publicité aux fiches de normes de sécurité.

Donc, un bon traducteur doit apporter une attention particulière au caractère technique des données qu’il traite. Puis, chercher les mots spécialisés qui sont les plus adéquats avec le type de document qu’il traduit. C’est justement ce jargon ou ce vocabulaire qui est appelé « la terminologie ». Ainsi, la connaissance approfondie des termes propres à chaque domaine professionnel vous évite les graves erreurs de la traduction.

Connaître la culture du public étranger

En traduction technique, il ne suffit pas de traduire le contenu du document dans la langue étrangère que vous ciblez. Mais aussi, il faut avoir une approche culturelle pour l’adapter aux habitudes du public destinataire. Par exemple, si vous décidez de commercialiser vos produits à l’international, il est utile de faire traduire vos fiches de produits. Donc, il devient crucial de connaître les habitudes vestimentaires de vos clients si vous êtes spécialisés dans le domaine du prêt-à-porter.

De même, si vous êtes professionnel dans le domaine des chocolateries, sachez que les clients belges préfèrent les chocolats noirs et pralinés ! Par contre, l’Allemagne consomme 2 fois plus de chocolat par an que la Belgique. Les amateurs allemands de cette douceur la préfèrent sous forme de tablettes, truffes ou encore d’orangettes. L’emploi de ces spécialités dans la traduction de vos fiches de produits les rend plus compréhensibles par vos clients.

Allier précision et crédibilité

Outre l’obligation de ne pas commettre des erreurs de langue et de terminologie, votre texte technique traduit doit être crédible. Cela signifie que vos interlocuteurs étrangers doivent comprendre et pouvoir utiliser les contenus traduits que vous leur proposez. L’objectif n’étant pas de changer la langue d’une notice ou d’un cahier des charges. Le plus important est qu’ils soient prêts à l’emploi d’une manière correcte, tel qu’elle soit perçue par la copie originale. Autrement, ces supports de communication perdent leur valeur et leur authenticité.

Pour ces raisons, la précision est donc utile, voire fondamentale pour réussir une traduction spécialisée. Car en pratique, la plus grande difficulté de cet exercice est la compréhension. En effet, la plus grande erreur est de constituer une traduction difficile à comprendre ou pleine d’expression erronée. Donc, l’enjeu est de taille, car, une mauvaise traduction peut avoir de graves impacts, notamment sur la vie des utilisateurs.

Recourir à une société de traduction spécialisée

Pour trouver une solution efficace à tous les enjeux susmentionnés, il faut faire appel à une agence de traduction spécialisée. C’est l’unique garant d’un travail professionnel qui vous garantit des résultats irréprochables. Votre partenaire linguistique mettra à votre disposition une équipe dédiée pour la traduction et la relecture de votre document technique. Fiches de produits, manuel d’utilisation, guide de fabrication, notice, normes ou brevet, à chaque contenu son expert traducteur. Ensuite, chaque travail sera systématiquement révisé pour vérifier son exactitude terminologique et son adaptation typographique. Justement, cette 2e lecture donne traite avec objectivité le travail du traducteur pour corriger les erreurs et optimiser le contenu. Elle vous permet de garantir la qualité des textes que vous allez finalement recevoir. Mais aussi, de vous assurer de la bonne impression que vous donnerez à vos interlocuteurs étrangers à travers vos traductions techniques réussies.

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